Fugitive - Leonardo Dolengiewich





Texto en español: "Fugitivo".

Traducido al inglés por Macarena Altamiranda


—So why are they looking for you?
—For something that took place some years ago. A robbery, someone died.
—Do they want you in jail?
—No. They want me under the ground.
—Is that serious? Who did you kill?
—I didn’t kill anyone.
—So?
—In that robbery, I was the dead.

  

DÖNGÜ SONU - Lina Caffarello



Texto en castellano “FIN DE CICLO”




Traducción al turco por A.Cengiz Büker







Adam resimlemiş gökyüzünü de,
dağlar yağıyor incecikten.

Gün bu camdan girecek odaya da,
sarıverecek kemiği,
çalan çanı,
kutlu çocuğun heykelini.

Ya herkesin yeri, hiç kimsenin ya da,
geçmişin ne olacak bir sonraki?

Bak, biri koşarak kestirmelerden


yarışıyor dinozorun peşinden.

Lina Caffarello


L'ultimo regalo - Ada Inés Lerner & Ana Caliyuri

Texto en italiano y en español
Traducido al italiano por  Raffaele Serafino Caligiuri


 L'ultimo regalo
Mr. Witelock chiese il prezzo dell'opera d'arte della Dinastia Ming. Corrispondeva al resto del suo denaro. Diede la sua direzione in Bernal ed istruzioni precise affinché una persona di fiducia dell'impresa si incaricasse di consegnarla nella casa della sua promessa. Poi attraversò la città, attraversò ombroso la strada che attraversava la Ponte Roccia in direzione all'Incrocio Castelar ed in un boschetto privato si sparò, giusto quando il sole indicava  mezzogiorno. Marie Witelock era una moglie ambiziosa. Lei non avrebbe sopportato la bancarotta di suo marito. Neanche lui avrebbe sopportato i costanti rimproveri di lei. Inoltre, a lui, gli avevano diagnosticato una malattia terminale. Meglio così, pensò, camminò nel boschetto, mentre una smorfia ironica avvolgeva il suo viso. Marie era una donna rozza, tutto le era caduto facilmente nelle mani. Questo sarebbe stato il ventesimo ed ultimo vaso che le avrebbe regalato.

El último regalo



Mr. Witelock preguntó por el precio de la obra de arte de la Dinastía Ming. Correspondía al resto de su dinero. Dio su dirección en Bernal e instrucciones precisas para que una persona de confianza de la empresa se encargara de entregarla en la casa de su prometida. Después atravesó la ciudad, tomo sombrío el camino que cruzaba el Puente Roca en dirección al Cruce Castelar y en un bosquecillo privado se pegó un tiro, justo cuando el sol indicaba el mediodía. Marie Witelock era una esposa ambiciosa. Ella no soportaría la bancarrota de su esposo. Él tampoco habría aguantado los constantes reproches de ella. Además, a él, le habían diagnosticado una enfermedad terminal. Mejor así, pensó, camino al bosquecillo, mientras una mueca irónica envolvía su rostro. Marie era una mujer torpe, todo se le caía fácilmente de las manos. Este sería el vigésimo y último jarrón que él le regalaría.

Ana Caliyuri
Ada Inés Lerner

DEĞİŞİMLER - Lina Caffarello


  
Texto en castellano en El escribidor:  “ALTERNANCIAS”



Traducción al turco por A. Cengiz Büker


 



 

Kimileyin aladoğan

olup seyrettim dağları

kuş uçuşu yücelerden.



Kimi deve oluverdim

gezdim dolaştım çölleri



Oldum ormanlara veli,

bir kaplan gibi yırtıcı.



Sonra, her yere uydum da,

kertenkele bile oldum,

yılan oldum, balık oldum, fok oldum,

solucan oldum, karınca...



İnsan oldum en sonunda

akıl yürütmeyi bildim

düzelteyazdım dünyayı.



Ola ola molekülüm ben şimdi.


The Prince of Transylvania - Luciano Doti




Texto en español en Letras de Horror: "El príncipe de Transilvania".

Traducido al inglés

A medieval legend tells us that a young Turkish man once found a lamp as he walked the country, and after rubbing it, a genius appeared and said him:
«Tell me what you wish for»
«I wish for a magic carpet to fly where I want, and that my blood were immortal»
The genie gave him the two things, and in one of his travels, the Turkish man went to the limit of Otoman Empire, in Transylvania. There he was attacked by a prince who regularly impaled the invaders and drank their blood. The Turkish man died, because, despite the fact that in his veins circulated the immortal blood, his body could not endure being crossed and wounded by a wood lance. The prince got the immortality and continued with his habit of drinking blood, but instead the Turkish man, he was cautious to never be crossed by some wooden object.

Lei e il - Betty Badaui



Texto en español en Escritores D'Alrededor: "Ella y él".


Traducido al italiano por: Marta Roldán (Carmiña Candido Daverio)


Lei sta camminando sulla spalla sinistra della strada. Quando vedete margherite selvatiche mani insieme, guardare il cielo e poi sarà quasi pigramente pizzicando le note una ad una, le premuto contro il petto e continuò a piedi.
Egli sta camminando sulla spalla destra della strada, a guardare il cactus, guardare, toccare le spine pensando di un gran mazzo di fiori che volevano comprare per lei, con il rifiuto delle sue tasche trasparenti come vuoto.
Nel corso di una curva sono venuti insieme: il silenzio, il cielo, le mani insieme ... e una danza di passione brillarono nel deserto ..
Raggiunta la strada assieme, camminava a destra e ha lasciato.
Stelle e lucciole concorrente, si sentiva bianco e sorrise di avere un cuore giallo.
Si concentrò sui suoi desideri annegati e si sdraiò sul prato a guardare le stelle e pronto a sognare di un grosso mazzo di novia.








Betty Badaui

LE DACHNAVAR, vampire arménien - Violeta Balián



Texto en español en Crónicas Armenias: "El Dachnavar, vampiro armenio"

Traducido al francés por Cecile Le Roux

Fait divers constaté dans les "Chroniques d'un voyage à travers le Caucase", par le
- Baron Hugo von Röhrbeck - Longmans, Green, and Co. (Londres 1881)

« Peu de temps après avoir atterri à Samsun et entamé un voyage de reconnaissance topographique au travers des terres arméniennes, j'ai embauché un guide et j'ai rejoint une caravane itinérante qui voyageait en direction du sud. Une nuit, alors que nous étions campés à la belle étoile, j'ai observé que, l'un après l'autre, les voyageurs s'approchaient du feu et y jetaient des têtes d'ail pour chasser les mauvais esprits.  Puisque je ne connaissais pas les superstitions de la région, j'ai consulté le guide, et celui-ci me parla du vampire Dachnavar, la créature ailée qui résidait dans une caverne incrustée dans le Mont Ararat et survolait la région, marquant sa seigneurie sur les vallées profondes du Hayastan. Obsédé avec les intrus, le monstre avait décrété que toute personne qui réaliserait une incursion dans son territoire ou révélerait le nombre secret de ses vallées, souffrirait d'un châtiment mortel. C'est à dire, une mort très particulière, puisque le monstre attaquait ses victimes en leur mordant la plante des pieds.

Et ainsi, le Dachnavar perdura dans le temps et l'infamie, jusqu'à ce qu'un beau jour, il trouve son digne adversaire en deux étrangers astucieux, commissionnés pour y faire une estimation du  nombre de vallées.  Avertis, les hommes se couchèrent, en se positionnant les pieds de l'un derrière la tête de l'autre.  Quelques heures plus tard, tâtant dans l'obscurité, le Dachnavar se buta sur une tête. Il tâta de l'autre côté, et trouva aussi une tête.  Humilié, il protesta: -- "Ça alors, j'ai parcouru les 366 vallées de ces montagnes et bu tous les sangs possibles sans jamais avoir rencontré une créature sans pieds et à deux têtes—".  Se sentant moqué, il abandonna le pays pour ne jamais plus y revenir.  "Et ce fut lui-même qui révéla le nombre de ses vallées", conclut le guide tout en attisant le feu.
Je lui ai demandé s'il était certain de la fuite du Dachnavar.  —"Pas du tout, monsieur.  Il y a des rumeurs que celui-ci continuerait de se réfugier dans sa caverne.  Et aussi, on l'aurait vu parcourir, mélancolique, les déserts et les plaines."
Au lever du soleil, une clameur éclata dans la caravane. Les nouvelles étaient terribles.  Mon guide était mort durant la nuit, et il apparaissait avoir des blessures aux pieds.  Perplexe, j'ai levé les yeux, et à distance, j'ai distingué la silhouette noire d'un cavalier sur sa monture.  Ensuite, rien ne fut visible sauf un  nuage de poussière et, enfin, rien du tout, même pas de poussière."